Actuellement, les mesures restrictives ciblent 21 personnes et trois entités, imposant un gel des avoirs et interdisant aux citoyens et aux entreprises de l’UE de fournir des fonds aux personnes cotées. De plus, les sanctions imposent une voyage interdiction de ces personnes, les empêchant d’entrer ou de transiter par les territoires de l’UE.
Le régime de sanctions a été initialement adopté en octobre 2019, UE a cherché à faire face à l’escalade de la crise au Nicaragua. Le Conseil a souligné à plusieurs reprises de graves problèmes, notamment l’érosion de la droits de l’hommela démocratie et l’état de droit dans le pays. Ces mesures sont réévaluées chaque année, garantissant que la réponse de l’UE reste pertinente et efficace.
L’Union européenne reste ferme dans son appel au Nicaragua pour qu’il rétablisse les libertés fondamentales, libère tous les prisonniers politiques restants et autorise le retour des ressortissants internationaux. droits de l’homme organisations. L’UE demande instamment qu’il soit mis fin aux restrictions actuelles de l’espace civique et insiste sur le respect du droit à la dissidence.
Réaffirmant son engagement envers le peuple nicaraguayen, l’UE souligne l’importance de défendre la démocratie, l’État de droit et les droits de l’homme. La crise politique qui frappe le Nicaragua exige une résolution par le biais d’un dialogue sincère entre le gouvernement et les forces de l’opposition, une solution que l’UE préconise fermement.
Alors que le Nicaragua fait l’objet d’une surveillance internationale continue, les mesures de l’UE représentent un message fort : une véritable réforme et le respect des libertés fondamentales sont impératifs pour faire progresser la stabilité démocratique et sociale du pays.
Publié à l’origine dans The European Times.