Bruxelles, le 31 janvier 2024 – Alors que le monde navigue à travers pandémies, troubles et défis sociétaux, une lueur d’espoir émane du volontariat, offrant une voie vers la transformation. C’est le thème central d’un événement prévu au siège de l’Église de Scientologie à Kyalami, en Afrique du Sud. Le 3 février, les églises de Scientologie du monde entier, y compris celles de la région européenne, présenteront en avant-première “Opération : On y fait quelque chose”, un documentaire capturant l’essence et l’impact des efforts de volontariat à travers le globe.
Ce documentaire résulte de plus de deux ans de service dévoué des ministres volontaires (VM) de Scientologie dans le monde entier, mettant en lumière leurs contributions significatives, particulièrement pendant la pandémie de COVID-19.
En rendant hommage aux ministres volontaires de la communauté scientologue, le film met en avant le rôle essentiel des ministres volontaires sud-africains. Ces bénévoles ont consacré plus d’un million d’heures de service en première ligne en Afrique du Sud, collaborant avec les autorités pour contenir la propagation du virus. Ils ont notamment nettoyé environ 70 000 bâtiments, du gouvernement aux forces de l’ordre, garantissant le bien-être et la sécurité de la population.
La campagne “Opération : On y fait quelque chose” reflète la mission principale des ministres volontaires : offrir un soutien et une assistance inébranlables aux communautés qui en ont cruellement besoin. Cette mission est en accord avec la vision de Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie, qui a lancé ce programme au milieu des années 1970 pour insuffler un but, la vérité et des valeurs spirituelles dans la vie des gens. Avec la devise “Nous pouvons faire quelque chose”, le film met en avant le dévouement des ministres volontaires à lutter contre la douleur, le mal et l’injustice à l’échelle mondiale et à les atténuer.
Le documentaire met également en avant les progrès significatifs du programme des ministres volontaires en Afrique du Sud, avec plus d’un demi-million de personnes participant aux cours “Outils pour la vie” et près de 25 000 devenant des ministres volontaires certifiés après avoir suivi l’ensemble des 19 cours. Le film ne se contente pas de célébrer ces étapes importantes, il lance également un appel à ce que davantage d’individus s’engagent dans le volontariat et aient un impact positif sur leur communauté.
La première du documentaire aura lieu le 3 février en Afrique et sera diffusée dans le monde entier, mais les histoires et le message qu’il contient ont une portée universelle. Pour l’Union européenne, où le volontariat fait partie intégrante du tissu social, le film offre des leçons et une motivation précieuses. Ivan Arjona, représentant de la Scientologie auprès des institutions européennes et de l’ONU, a souligné l’opportunité pour les nations européennes de s’inspirer de l’expérience des ministres du Volontariat et d’adapter leurs stratégies pour relever efficacement les défis sanitaires et environnementaux.
De plus, le documentaire souligne l’importance cruciale de la collaboration intersectorielle et communautaire, incarnant les valeurs de solidarité et de coopération. En mettant en lumière l’impact des ministres volontaires de Scientologie en Afrique du Sud, le film encourage le public à réfléchir à la façon dont le volontariat peut favoriser la résilience, la guérison et le développement de sociétés plus compatissantes.
En conclusion, “Opération : On y fait quelque chose” transcende son format documentaire pour devenir un puissant témoignage de l’esprit durable du volontariat et de l’effort collectif. Alors qu’il fera ses débuts en Afrique et atteindra un public mondial, il invite chacun à reconnaître que, face à l’adversité, des mesures concrètes peuvent être prises pour faire la différence. Les efforts des ministres volontaires de Scientologie rappellent le rôle essentiel du volontariat dans la réalisation de changements transformateurs et la nécessité d’une action unie pour un monde meilleur.