Cette résolution est fondée sur les principes énoncés dans la Charte des Nations Unies et s’appuie sur les engagements. Il met l’accent sur la reconnaissance du rôle que joue le dialogue entre les religions et les cultures. Elle réaffirme la valeur du respect des droits et libertés, quelles que soient sa religion ou ses convictions.
Reconnaissant que le dialogue contribue à la cohésion, à la paix et au développement, cette résolution exhorte les États membres à considérer le dialogue interculturel comme un moyen puissant pour parvenir à la paix, à la stabilité sociale et aux objectifs de développement convenus au niveau international.
Reconnaissant la contribution essentielle du dialogue à la cohésion sociale, à la paix et au développement, la résolution appelle les États membres à considérer le dialogue interreligieux et interculturel comme un instrument puissant pour réaliser la paix et la stabilité sociale, ainsi que pour atteindre les objectifs de développement convenus au niveau international.
Cette résolution historique aborde également la prolifération inquiétante des discours de haine. Il souligne l’importance de formuler une définition internationalement reconnue du discours de haine et invite toutes les parties prenantes concernées à observer la Journée internationale de lutte contre le discours de haine. La résolution souligne également le rôle de l’éducation, de la culture, de la paix et de la compréhension mutuelle dans la lutte contre la discrimination et les discours de haine.
L’Assemblée générale condamne fermement la promotion de la haine qui conduit à la discrimination, à l’hostilité ou à la violence, qu’elle se propage par le biais des médias ou des plateformes numériques. Il met l’accent sur le lien entre les libertés telles que la religion/conviction et la liberté d’opinion/d’expression en plaidant pour leur rôle combiné dans la lutte contre l’intolérance et la discrimination.
En outre, la résolution demande instamment des mesures pour lutter contre la propagation préoccupante des discours de haine sur les plateformes de médias sociaux tout en respectant les normes relatives aux droits de l’homme. Il appelle les États membres et les entreprises de médias sociaux à travailler pour réduire le discours de haine et améliorer l’accès des utilisateurs aux mécanismes de signalement.
Pour relever efficacement ce défi croissant, l’Assemblée générale a demandé au Secrétaire général des Nations Unies d’organiser une conférence en 2025. Cette conférence réunira des entités des Nations Unies, des États membres, des organisations de chefs religieux, des représentants des médias et la société civile pour discuter de stratégies de promotion du dialogue. entre les religions et les cultures comme moyen de lutter contre le discours de haine.
Avec cette résolution en place, la communauté internationale est prête à intensifier ses efforts pour créer un monde où la compréhension, la tolérance et le respect mutuel l’emportent sur les barrières religieuses. En luttant contre le discours de haine et la discrimination, nous visons à favoriser un environnement qui embrasse l’acceptation et le respect de la rhétorique.
L’engagement résolu de l’Assemblée générale à favoriser le dialogue entre les religions et les cultures témoigne de notre détermination à construire un avenir caractérisé par la paix, la compréhension et l’unité tout en transcendant les langages qui divisent.
Publié primier a The European Times news