Dans un vidéoqui a fait le tour du monde, mis en ligne avant son intervention, elle a dit sa « honte » d’avoir relayé la propagande russe, et expliqué que son père est ukrainien et sa mère russe.
Elle a ensuite été interpellée et conduite dans un commissariat, selon l’ONG de défense des droits des manifestants OVD-Info. Aujourd’hui, elle a été libérée mais condamnée.
Mme Ovsyannikova a alors été interpellée et conduite dans un commissariat, selon l’ONG de défense des droits des manifestants OVD-Info. Aujourd’hui, elle a été libérée et condamnée pour « délit administratif » à une amende d’environ 250 euros. seule la vidéo a été prise en compte.
Communiqué de presse d’un journaliste
À sa sortie de détention, elle a fait une courte déclaration à la presse :
« Ce sont des jours très difficiles dans ma vie, j’ai passé presque deux jours sans dormir, l’interrogatoire a duré quatorze heures. Je n’avais pas le droit de parler avec mes proches, ni accès à une assistance juridique et c’est pourquoi j’étais dans une position très difficile. Aujourd’hui, je dois me reposer. »
Son avocat a déclaré à l’AFP qu’il craignait qu’elle ne soit inculpée pour avoir publié de « fausses informations » sur l’armée russe, un crime passible d’une peine maximale de 15 ans de prison. d’une loi récemment votée.
Publié primier a The European Times news