Le Conseil Environnement de l’Union européenne a adopté mardi à Luxembourg une orientation générale sur la proposition de la Commission européenne pour un règlement sur la restauration de la nature. Ce poste servira de mandat au Conseil pour les futures négociations avec le Parlement européen.
« Je ne peux que me réjouir du résultat de cette importante législation et de son adoption. Aujourd’hui, six mois après l’accord historique conclu lors de la COP15 sur la diversité biologique auquel la Belgique et l’Union européenne se sont engagées, cette loi sur la restauration de la nature s’impose d’urgence pour faire face au déclin de la biodiversité et aux conséquences drastiques du changement climatique. Aujourd’hui, il ne suffit plus de protéger la nature ; il est indispensable de les restaurer pour assurer la résilience de notre agriculture et l’habitabilité de nos villes. Il est également important de rappeler que le coût de l’inaction est désormais une réalité, tant d’un point de vue économique qu’humain. Si nous ne faisons rien maintenant, les conséquences pour les générations futures ne feront qu’empirer. Je regrette l’abstention belge, mais je tiens à remercier mes collègues Céline Tellier, Alain Maron et Zuhal Demir, qui ont tenté jusqu’au bout de faire bouger les choses ».
« Je ne peux que me réjouir du résultat de cette importante législation et de son adoption. Aujourd’hui, six mois après l’accord historique conclu lors de la COP15 sur la diversité biologique auquel la Belgique et l’Union européenne se sont engagées, cette loi sur la restauration de la nature s’impose d’urgence pour faire face au déclin de la biodiversité et aux conséquences drastiques du changement climatique. Aujourd’hui, il ne suffit plus de protéger la nature ; il est indispensable de les restaurer pour assurer la résilience de notre agriculture et l’habitabilité de nos villes. Il est également important de rappeler que le coût de l’inaction est désormais une réalité, tant d’un point de vue économique qu’humain. Si nous ne faisons rien maintenant, les conséquences pour les générations futures ne feront qu’empirer. Je regrette l’abstention belge, mais je tiens à remercier mes collègues Céline Tellier, Alain Maron et Zuhal Demir, qui ont tenté jusqu’au bout de faire bouger les choses ».