Racontez-nous votre parcours en quelques mots. Qu’est-ce qui vous a amenée à la DGE ?
Après un début de carrière au Commissariat à l’énergie atomique (CEA), j’ai passé un DEA de droit des affaires pour revenir au CEA sur des fonctions de juriste-contrat spécialisée en propriété industrielle.
Ces dernières années, j’étais responsable du bureau des accords pour le laboratoire d’électronique et de technologie de l’information du CEA (LETI). J’aimais beaucoup essayer de comprendre les besoins de mon équipe, faire progresser les personnes selon leur potentiel, transmettre ce que je savais, et écouter les expériences des autres. En revanche, le côté « administratif » du management commençait à me peser, et l’envie m’est venue de faire autre chose.
J’avais travaillé dans un environnement passionnant, très mouvant et varié, avec des startups, des grands groupes, des laboratoires académiques ou industriels, français, européens, américains, japonais… La seule facette que je n’avais pas encore abordée était la conception de politiques publiques. C’est ainsi que j’ai postulé à la DGE, ou je suis désormais depuis deux ans chargée de mission au Service de l’économie numérique.
Qu’appréciez-vous le plus dans votre poste ?
C’est le positionnement qui me permet d’être là où les grands programmes structurants dans le domaine de l’électronique sont conçus. C’est exactement ce que je recherchais. Il m’a fallu du temps pour bien appréhender mon environnement quotidien, différent du CEA, mais j’ai pu ainsi tester mes facultés d’adaptation, ce qui était l’un des défis de ce poste !
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