Racontez-nous votre parcours en quelques mots. Qu’est-ce qui vous a amenée à la DGE ?
J’ai rejoint la DGE dès mon diplôme d’ingénieure de l’École des Mines de Paris obtenu. Je souhaitais mettre mes compétences au service de l’intérêt général, avec une volonté forte de m’engager pour la transition écologique. Quand l’opportunité s’est présentée de travailler sur la décarbonation de l’industrie à la DGE, je n’ai donc pas hésité.
Qu’appréciez-vous le plus dans votre poste ?
En tant que cheffe de projets « Décarbonation de l’industrie », je travaille – avec le reste de l’équipe – au pilotage et à la mise en œuvre des dispositifs de soutien de la décarbonation de l’industrie dans le cadre des plans de soutien France Relance et France 2030, mis en place par le gouvernement. Nous sommes également très mobilisés par la définition des feuilles de route de décarbonation des filières et sites industriels les plus émetteurs de gaz à effet de serre. Dès ma prise de poste, j’ai eu la chance de gérer de nombreux sujets en autonomie, allant de problématiques techniques très concrètes sur des projets précis, à des enjeux stratégiques de conception de politiques publiques.
Ce que j’apprécie particulièrement est le fait de faire avancer un sujet central de la planification écologique – la décarbonation de l’industrie, avec un impact très concret : dans le cadre du plan de relance, par exemple, nos appels à projets ont permis de soutenir plus de 240 projets de décarbonation. J’interagis avec de multiples acteurs, publics comme privés, ce qui est extrêmement stimulant !
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