Voilà une tâche ingrate s’il en est. L’un des agents de Vladimir Poutine, membre du Service fédéral de protection (FSO) s’est vu confier une mission bien particulière. En effet, l’homme est chargé d’aller récupérer dans les cuvettes des WC les urines et étrons du président russe.
« Il a dû mettre les excréments de Poutine dans des sacs désignés afin qu’aucune trace ne soit laissée derrière. Tout a ensuite été ramené en Russie dans une valise spéciale », confient des sources moyen-orientales à Paris-Match.
D’ailleurs, depuis plusieurs années, le chef du Kremlin voyage rarement à l’étranger sans emporter… ses propres toilettes.
Cacher sa maladie?
Ces étranges habitudes posent question, en particulier sur la santé de Vladimir Poutine. En effet, les déjections fécales peuvent contenir diverses informations au sujet de la santé d’un individu en identifiant son ADN. En emportant ses excréments, Poutine cherche-t-il à cacher des informations sensibles .
Les spéculations autour de son état de santé vont bon train depuis des années, et ont pris une nouvelle vigueur depuis l’invasion russe de l’Ukraine : cancers en tous genres, maladie de Parkinson, traitement à la cortisone… Les rumeurs s’affolent.
Selon l’enquête de Paris-Match, « un faisceau d’indices tendrait à établir le diagnostic suivant : Poutine serait atteint d’un cancer de la glande thyroïde. D’où les précautions prises pour rapporter ses déjections », écrivent les journalistes.
Les médias russes indépendants avaient d’ailleurs rapporté que le président russe est, en permanence, accompagné par une équipe médicale, dont des experts en oncologie. Le leader russe serait donc soigné pour un cancer ? Si les autorités du Kremlin continuent de marteler que sa santé « est excellente », les récentes images du président, affaibli et tremblant, ainsi que ses rares apparitions publiques n’ont cessé d’alimenter la rumeur ces dernières semaines.