Mise à jour le 20/07/2020 à 07h18
«À l’heure où la pandémie n’est pas près de s’arrêter, je voudrais assurer ma proximité avec ceux qui sont confrontés à la maladie et à ses conséquences économiques et sociales. Mes pensées vont surtout aux populations dont les souffrances sont aggravées par les situations de conflit. Sur la base d’une récente résolution du Conseil de sécurité des Nations unies, je réitère mon appel en faveur d’un cessez-le-feu global et immédiat qui permettra d’instaurer la paix et la sécurité nécessaires pour fournir l’aide humanitaire requise», a ainsi assuré le Saint-Père, ce dimanche 19 juillet.
Lors de l’Angélus du 5 juillet dernier, le Pape appuyait déjà cette résolution onusienne adoptée mercredi 1er juillet, dans laquelle figure «la cessation générale et immédiate des hostilités dans toutes les situations inscrites à son ordre du jour» afin de lutter contre le coronavirus, et une «pause humanitaire durable» pendant au moins 90 jours consécutifs.
Tandis que le 29 mars dernier, le Saint-Père s’associait déjà à l’appel du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, pour un «cessez-le-feu global et immédiat aux quatre coins du monde», favorisant «la création de corridors humanitaires, l’ouverture à la diplomatie, l’attention à qui se trouve en situation de plus grande vulnérabilité».
Source Vatican News